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Le Blue Footed Booby viens de se poser.
Alors que la poussière retombe, mes senseurs optiques constate que le biologique répondant au nom de “Wales“est dejà descendu. J’emboîte le pas de la xenobiologiste, un nuage de fumée sortant de mes chevilles. Ne prêtant attention ni à la musique, ni aux annonceurs qui commentent mon arrivée, je bombe le torse tout en faisant jouer mes vérins dans des poses martiales. C’est pas tous les jours qu’ un bled comme Hopeton à le privilège de recevoir un champion aussi titré que moi, et j’ai un rang à tenir.
Devant, dans la moiteur torride de cette planète, Wales et Skizz sont en discussion avec le comité d’acceuil, un Trandoshan et deux humains, dont l’un arbore le sigle du Soleil Noir.
Sur la droite, une équipe de la Tragal s’affaire autour d’un vaisseau.
En explorant la ville, nous tombons sur l’Electric Witch, une cantina poussiéreuse, en accord avec son propriétaire, Murlan. Dans un coin du bouge, un droïde joue du banjo et de l'harmonica. Alors que les sacs de viande discutent de la situation régionale, Wales se fait voler sa valise. Il abat le pickpocket d’un /coup de fusil-blaster. Le bruit assourdissant du décollage d’une navette impériale interrompt la conversation quelques instants.
Après avoir pris congé de Murlan, nous nous promenons un moment dans la “ville”. Nos pas nous mènent devant un speeder-camion appellé “Ghita's Bazaar“. Intrigué par l’assortiment proposé, Wales engage la conversation. Les “artefacts” ont étés rapportés par Gaff Sutherland, un aventurier basé à Frog's Drop, un lieu uniquement accessible par bateau. Le bios du duro doit avoir glitché, puisqu’il achète un objet. Pendant ce temps, Skizz part dans une tirade adressée à Sazz, n’appréciant pas qu’elle consomme autant de liquide. Au vu de sa consommation, je soupçonne une fuite, mais n’arrive pas à la trouver. En réaction à la promo de Skizz, Sazz est soudainement prise de convulsions, et vidange le trop-plein de liquide par le même port qu’elle utilise pour l’insertion. La non-optimisation de ces biologiques m’étonneras toujours.
D’un commun accord, nous nous séparons, Wales et Skizz partent à la guilde des bounty hunters pour y chercher une chose appelée “travail”, tandis que je porte la Twi’lek se faire réparer au vaisseau, où Sazz deverse une encore son excédent de liquide sur la console de pilotage.
Les deux autres reviennent avec des informations sur une Keldorienne nommée Erin Britt, recherchée pour vol de vaisseau. Il est alors décidé qu’au lieu de réparer la Twi’lek, le mieux à faire est de la laisser recharger ses batteries. Ne trouvant pas de port -ni de câble – de charge, je l’allonge alors sur ce que je suppose être un chargeur à induction.
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